mardi 30 juin 2009
lundi 29 juin 2009
jeudi 25 juin 2009
LES TOITS LES PLUS "IN" DE L'ETE!
BARBECUE SUR LES TOITS DE PARIS : MAMA SHELTER!
Pour la débusquer, il va falloir prendre de la hauteur : rendez-vous sur le toit du Mama, où une immense terrasse vous invite à un barbecue populo-chic. Derrière les canisses, on se tape quelques brochettes de poissons et de viande grillée. Dans nos mains, un verre de rosé, une pastèque juteuse. A l’ombre des figuiers, on somnole sur de larges lits. Grisante, cette parenthèse aux allures marseillaises.
Un petit coin de farniente en plein cœur du 20e que le Mama Shelter nous dévoilera le vendredi 19 Juin, date d'ouverture des réservations. Save the date!
Barbecue sur les toits du Mama Shelter, à partir du 19 juin
Les jeudis, vendredis et samedis de 19h à 23h et le samedi de 12h à 16h
39€ le barbecue en libre service ( boissons non comprises), sur réservation uniquement (le jour même ).
109, rue de Bagnolet, 75020 Paris,Tél : 01 43 48 45 45
Métro Porte de Bagnolet ou Alexandre Dumas
La gastronomie sera à l'honneur au Palais de Tokyo (Paris, 16ème) à partir du 1er juillet avec notamment l'ouverture de Nomiya, un "restaurant" atypique installé sur le toit du palais. Le dispositif architectural pourra accueillir 12 personnes à la fois. Les réservations seront ouvertes sur Internet dès le 4 juin, via un site dédié. Des ateliers de cuisine seront aussi proposés au public.
Nomiya, conçu comme un "minuscule" bar japonais, est né d'un partenariat entre Electrolux et le Palais de Tokyo. Ce site atypique accueillera uniquement sur réservation 12 personnes à la fois. Elles pourront y déjeuner pour 60 euros ou y dîner pour 80 euros par personne.
Les réservations (la table de 12 ou pour deux personnes) ont débuté le 4 juin via Art-home-electrolux.com. Les places sont proposées soit en prix fixes, soit par ventes aux enchères. Gilles Stassart et son équipe oeuvreront en cuisine pour proposer des plats différents tous les jours.
Le Nomiya a été imaginé par Laurent Grasso, lauréat du prix Marcel Duchamp 2008. Il a créé un espace tout en transparence pour profiter d'une vue imprenable sur la tour Eiffel.
Et pour initier davantage le public à la gastronomie, un atelier culinaire mélange de gastronomie expérimentale et d'arts plastiques sera installé sur la mezzanine du Palais de Tokyo. Les participants pourront notamment suivre des cours de Gilles Stassart et de son équipe. Chaque semaine des thématiques particulières seront programmées et les enfants conviés à suivre des sessions (à partir de 20 euros).
Enfin, un jardin potager, créé par Pierre Alexandre Risser, prendra place sur la terrasse intérieure du Palais de Tokyo.
Le Nomiya occupera cette place insolite durant une année.
LA MER A BOIRE !
En plein coeur de l'agitation Bellevilloise. Une terrasse de café inondée de soleil surplombant les jardins de Belleville. Un havre de paix. Qui se nomme « La mer à boire » parce qu'à ses pieds, il y a Paris qui vibre, qui frémit comme une mer agitée. Mais aussi parce que cela ressemble à l'une de ces journées à la mer. Où l'on reste planté là à contempler l'horizon jusqu'au coucher du soleil.
12h.Les portes s'ouvrent. On commence par un petit café en lisant le journal. Puis on ferme les yeux, bercé par les rayons du soleil. Tiens déjà 13h. Et si on déjeunait ? On enchaine sur une expo dans le café qui présente des planches de BD cocasses sur mai 68. Epuisant ! On siroterait bien un Perrier citron en bouquinant les BD du café. 18h ? Il faut honorer l'apéro...
Devant le soleil rougeoyant qui se couche sur la ville, on se dit que décidément, Paris n'a pas fini de nous émerveiller.
On y retournera, à Belleville-en-mer...
La Mer à boire
1/3 rue des envierges
75 020 Paris
Métro Pyrénées
Ouvert du lundi au samedi de 12h à 1h
Tél :01 43 58 29 43
vendredi 12 juin 2009
Once Upon A Time They Were Human Too: Edita Vilkeviciute And Toni Garrn By Karl Lagerfeld
It’s not really all about fashion, it’s rather a style and culture magazine but often features some nice fashion stories. From these precious little editorials with the “dark horses” of the season or the unexpected pieces like this week: Toni Garrn and Edita Vilkeviciute shot by Karl Lagerfeld right after his Chanel Cruise show in Venice. This magazine is simply called L’Express Styles and is just another supplement coming with a french weekly newspaper. Besides a few pages with gorgeous pictures of the kind you would have found in any prestigious fashion-oriented publication, you’ll find a few fresh quotes by Karl about the crisis being a good reason for greedy people to be openly greedy while charity is only great when you don’t talk about it. But his best words are obviously in this quick sentence: “I was a human being too just like you”. It’s our own translation so, we’re sorry in advance for anything that could be slightly wrong. Right in the target, though. Well, if this is so right for Karl himself it’s also true when it comes to models. They were human beings too, before they got caught by all this drama, by this strange job called fashion modeling and, actually, there is no better examples than Edita and Toni, both heavily praised for their “human side”. Our feelings about this are quite vague, though. We should think about the real meaning of human before going too far in any statement and for many people the definition of human remains unclear. And very adjustable to everyone’s own perception and even desires. In the end, no matter who is human and who’s not. Who’s more human than who and who’s less. It’s getting all trivial even when it is highly interesting. As it’s thursday and we might lack of time to dive into a deep discussion, four fantastic pictures will probably do it better than a few more lines.
CINEMA : GOOD MORNING ENGLAND !
Vers le milieu des années 1960, certaines radios pirates emblématiques comme Radio Caroline ou Radio London, en proposant des programmes adaptés aux attentes de la jeunesse, jouèrent un rôle significatif dans l'essor de nouvelles formes de musique populaires, particulièrement de rock.
Le film Good Morning England est largement inspirée par l'histoire de Radio Caroline.
mardi 9 juin 2009
BATTLE FOR THE SUN! PLACEBO NEW ALBUM!
Avec le départ de Steve Hewitt le groupe vient de connaître sa première scène de ménage de toute sa période de succès. Du haut de ses 22 ans, le jeune américain Steve Forrest prend les baguettes. Son jeu de batterie est assez proche de celui de Steve Hewitt ce qui ravira les puristes. Il est néanmoins plus étoffé, plus subtil et plus fougueux (ah la jeunesse !). Stefan Olsdal s’impose un peu plus avec une basse plus présente et nous rappelle à quel point il est doué. Bryan Molko lui aussi se fait plaisir. Son chant plus que jamais mélodieux passe des notes les plus basses (octaves « tabac ») aux notes hautes avec une aisance remarquable.
Battle For The Sun marque un changement d’orientation. Il n’est cependant pas une révolution, on reconnaît très vite ce concept de rock épuré aux textes semblant sortis d’un état de transe. Et c’est tant mieux ! Le spleen caractéristique de Placebo est heureusement conservé, il n’y a d’ailleurs pas de grande nouveauté si ce n’est une puissance plus élevée. Dès le premier morceau Kitty Litter, l’énergie est portée à son comble et le restera pratiquement jusqu’au bout de l’album. L’excellent titre Battle For The Sun donne l’impression d’un air connu. A son écoute on se dit que « la mélodie est simple mais encore fallait-il y penser ». Comme souvent chez Placebo nous retrouvons les sonorités romantiques de Gainsbourg. C’est le cas par exemple d’Happy You’re Gone.
Avec Battle For The Sun il semblerait que Placebo s’attache davantage à soigner le design sonore que la pertinence des compositions. C’est certainement une bonne initiative mais on regrette un peu les mélodies crues des titres tels que ‘Passive Agressive’ ou ‘Slave To The Wage’. Les « Ashtray-Hearts » ont grandi et se sont assagis. La musique atteint certainement un public plus large mais touche moins profondément. Le groupe de tous les vices quitte résolument les rails de coke pour suivre les rails de la morale et peut-être faut-il s’en satisfaire…
lundi 8 juin 2009
QUI EST OLIVIER THEYSKENS ?
Le créateur d'origine belge, Olplébiscité dès ses débuts pour sa propre ligne puis pour son travail chez Rochas, est désormais le directeur artistique de la célèbre Maison française Nina Ricci.
Lorsque, en 1932, la talentueuse créatrice, Madame Nina Ricci, ouvre à Paris sa Maison de Couture avec son fils Robert, le succès est immédiat ; ses créations féminines aux étoffes raffinées et luxueuses faisant fureur dans la capitale.
En 1988, Nina Ricci est rachetée par le groupe familial Puig Beauty & Fashion Group basé à Barcelone. Aujourd'hui la marque jouit d'une renommée internationale et ce notamment grâce l'arrivée, en novembre 2006, d'Olivier Theyskens en tant que directeur artistique.
Agé d'à peine 19 ans, Olivier Theyskens s'impose rapidement dans le milieu de la Mode. Après neuf collections en nom propre, le jeune Belge rejoint Rochas, une Maison qui, si elle a, grâce aux créations de Marcel Rochas, marqué la Mode des années 40, a besoin de retrouver une identité forte. La presse est immédiatement séduite par la première collection du créateur pour la marque.
En 2005, il reçoit, lors de la Nuit des Stars, organisée par le Fashion Group International, la récompense du meilleur Designer de Mode International avant d'être, l'année suivante, récompensé par le même prix aux CFDA Awards.
La nomination d'Olivier Theyskens en tant que Directeur artistique de la Maison Nina Ricci en 2006 n'est pas surprenante ! Son amour pour des lignes délicates et féminines fait écho à l'esprit de Madame Ricci. Le créateur fonctionne à l'instinct, ses collections étant souvent élaborées à l'aide d'un crayon sur un carnet de croquis. Madame Ricci se fiait également à son intuition, drapant et coupant ses toiles à même le mannequin plutôt que sur la table de patronage.
De plus, tout comme Olivier Theyskens, qui est vite devenu l'un des créateurs préférés des stars d'Hollywood (Madonna a un jour déclaré : "Olivier est l'un des seuls créateurs que je considère comme un véritable artiste. Ses vêtements sont uniques et inventifs. "), Madame Ricci habillait, dans les années 40 et 50, les actrices et mondaines les plus glamour.
L'asymétrie et les détails de surpiqûres de certaines jupes, robes ou vestes rappelant la torsade de Cristal Lalique de l'élégante bouteille. Quant à certaines robes du soir en soie jaune, elles font directement référence à son emballage lumineux.
Le vestiaire de la marque, qui comprend, entre autres, des jeans étroits et des mailles fluides, s'adresse à une jeune femme moderne et sexy à l'attitude nonchalante. Son rayonnement, dit-il, est large "je veux des vêtements cool, attirants et universels qui séduisent aussi bien les Parisiennes que les New Yorkaises ou les Tokyoïtes."