vendredi 18 décembre 2009

ASSOCIATION PETITS PRINCES : DES MILLIERS DE REVES D'ENFANTS REALISES.



Depuis sa création en 1987, l’association Petits Princes permet à des enfants gravement malades de vivre leurs rêves les plus chers. En 20 ans, elle a déjà réalisé plus de 3500 rêves d’enfants pour leur insuffler l’énergie de lutter contre la maladie. Aujourd'hui un rêve est réalisé tous les deux jours.

PRESENTATION

L’association Petits Princes concrétise les rêves d’enfants touchés par des cancers, leucémies et maladies génétiques avec la collaboration de plus de 100 services pédiatriques et le soutien d’une cinquantaine de partenaires.

L’association, qui fonde ses actions sur la force de l’imaginaire des jeunes malades, leur insuffle une énergie supplémentaire pour se battre contre la maladie en les aidant à vivre une passion et à réaliser les rêves qui leur tiennent à cœur.

HISTOIRE

Le projet d’aider des enfants malades à réaliser leurs rêves a vu le jour à l’initiative de Marie Bayle, infirmière libérale, et Dominique Bayle, professeur de culture physique.

Frédéric d’Agay, petit neveu d’Antoine de Saint Exupéry, soutient leur projet en leur accordant gracieusement l’utilisation du nom Petits Princes.
L’association est créée officiellement en décembre 1987 sous la présidence du Docteur Philippe Biclet.

Dès 1993, l’association avait réalisé 100 rêves.
Le 1000ème rêve a été réalisé en 1999, l’année où l’association a été reconnue Oeuvre de Bienfaisance.

En 2007, l'Association obtient le prix de l’Innovation en fundraising pour l’opération "1000 clics pour 1 rêve" et réalise le 3000ème rêve.

LES ACTIONS

L’action de l’association Petits Princes ne limite pas à la réalisation d’un rêve mais s’inscrit dans la durée.

L’association assure un suivi des enfants et plusieurs projets sont préparés et réalisés pour un même enfant en fonction de ses traitements médicaux et hospitalisations.
Les projets sont organisés en accord avec les équipes soignantes.

De plus, elle apporte son soutien à toute la famille et associe les parents et la fratrie aux rêves des enfants malades.
Depuis sa création, elle a suivi plus de 1000 familles de façon régulière.

DES MILLIERS DE REVES

Approcher les dauphins, se faire relooker, rencontrer son idole… autant de rêves que les bénévoles de l’association Petits Princes organisent et encadrent.

Les bénévoles, recrutés sur CV, lettre de motivation et entretiens, suivent une formation de 3 mois avant de participer aux rêves des enfants en observateurs et de se charger de leur suivi.

En mars 2008, pour fêter les 20 ans de l’association, 20 petits princes vont partir dans le désert marocain sur les traces de Saint-Exupéry, à la rencontre des peuples du désert.



BEST WISHES !



Cette année, Women Management Paris a décidé de s’engager en apportant son soutien à l’Association Petits Princes qui réalise au quotidien les rêves d’enfants gravement malades.
Etant certains que vous partagerez nos convictions, nous
vous souhaitons une excellente année 2010.
L’équipe Women Paris


This year, Women Management Paris decided to show it's support to the charity organisation Petits Princes. Their daily goal is to fulfill the dreams of severely ill children.
Hoping that your dreams may come true as well, we wish you a wonderful new year.
Women Paris team


mercredi 9 décembre 2009

MAY YOUR DAYS BE MERRY AND BRIGHT, AND MAY ALL YOUR CHRISTMASES BE WHITE!



I'm dreaming of a white Christmas,
Just like the ones I used to know.
Where the tree-tops glisten,
And children listen
To hear sleighbells in the snow.

I'm dreaming of a white Christmas,
With every Christmas card I write,
"May your days be merry and bright,
And may all your Christmases be white".

I'm dreaming of a white Christmas,
Just like the ones I used to know.
Where the tree-tops glisten,
And children listen
To hear sleighbells in the snow.

I'm dreaming of a white Christmas,
With every Christmas card I write,
"May your days be merry and bright,
And may all your Christmases be white".

vendredi 4 décembre 2009

COPENHAGEN CLIMATE COUNCIL 2009 : TIME FOR CHANGES ?



DE LA BUCHE, POURQUOI PAS, MAIS AU NUTELLA !


1 orange non traitée

120 g de beurre

120 g de sucre

2 gros œufs

120 g de farine

½ sachet de levure

4 cuillerées à soupe de Nutella®

du cacao en poudre


Préchauffez le four à 190 °C. Râpez le zeste de l'orange et pressez-la pour récupérer son jus.
Ramollissez le beurre et mélangez-le avec le sucre à l'aide d'un fouet. Incorporez les œufs, le zeste et le jus d'orange. Mélangez bien avant d'ajouter la farine et la levure.
Versez la pâte sur une feuille de papier sulfurisé posée sur le plan de travail. Utilisez une longue spatule ou un couteau, en n'hésitant pas à déborder, pour obtenir une couche régulière de 3 mm. Soulevez deux des coins de la feuille de papier sulfurisé ainsi recouverte pour la glisser délicatement sur la plaque. Enfournez durant 6 min environ, jusqu'à ce que le dessus soit doré.
Pendant ce temps, chauffez légèrement le Nutella® pour qu'il soit souple et s'étale facilement sans abîmer la pâte.
Sortez le gâteau du four et faites-le glisser sur le plan de travail. Étalez le Nutella® en une fine couche à l'aide d'une spatule en inox ou d'une cuillère à soupe. Roulez le gâteau encore chaud sur lui-même, en vous aidant de la feuille de papier sulfurisé que vous décollerez petit à petit. Serrez le plus possible pour que le gâteau ait une jolie forme arrondie. Laissez refroidir sans couvrir.
Avant de le servir, tranchez les extrémités et saupoudrez-le de cacao.


PORTRAIT : ETIENNE RUSSO


Sur sa carte de visite, rien n'est indiqué. Seulement Etienne Russo. Au premier abord, cela peut surprendre. Mais, quand on connaît le rôle que ce Belge joue dans les défilés des plus grands créateurs et couturiers, on comprend mieux. Définir en un mot le métier qu'il exerce relève en effet de la gageure.

Serait-il scénographe de la mode? «C'est un mot qui convient mieux à un organisateur d'expositions», tranche Etienne Russo. Metteur en scène, producteur? «Des termes issus de l'univers du théâtre ou du cinéma, qu'on ne peut pas transposer tels quels à mes activités», renchérit-il. Directeur artistique, alors? «Je laisse ce titre à ceux qui créent les collections», sourit-il. Celui dont la réputation n'est plus à faire dans le milieu de la mode concède finalement que sa fonction relève un peu de tout cela à la fois, mais avec une différence, essentielle à ses yeux: «Mon équipe et moi, on représente l'univers d'un créateur. On se met au service d'une collection. C'est ma plus grande fierté. Je n'ai pas besoin de la reconnaissance du public.» Il faut dire que la consécration du milieu de la mode, dont on connaît l'exigence, vaut sans doute bien des standing ovations de fin de défilé. Et, si des griffes aussi prestigieuses que Dries Van Noten, Hermès, Sonia Rykiel, Chanel, Lanvin ou Miu Miu font appel à Etienne Russo et à Villa Eugénie, sa société d'organisation d'événements, c'est qu'elles ne se sont jamais senties trahies dans la transposition de leur imaginaire ou de leur identité.

Si le métier qu'exerce Etienne Russo n'a pas de nom, on imagine facilement qu'il n'existe pas non plus de cursus scolaire classique pour s'y former. Celui qui met en scène les fantasmes des créateurs a commencé par l'école de la nuit avant de frayer avec le milieu de la mode, un peu par hasard. Après avoir fait ses classes en section hôtelière à Namur, il devient barman au Mirano, la boîte où sort le Tout-Bruxelles branché. En parallèle, il se lance dans le mannequinat. On est alors au début des années 1980, une époque où la vie nocturne tout comme la mode belge sont en plein boom. Alors qu'il se lie d'amitié avec les Six d'Anvers, Etienne Russo devient petit à petit le directeur artistique de soirées qui font date. Inévitablement, l'idée lui vient de rapprocher les deux milieux dans lesquels il évolue: en 1989, il met sur pied un grand concours de stylistes au Mirano. Deux ans plus tard, il organise le premier défilé à Paris de Dries Van Noten. Aujourd'hui, il en est à sa soixantième collaboration avec le créateur... «Avec Dries, on a un vécu commun énorme, confirme-t-il. Il me parle formes, me montre des images qui l'ont inspiré pour sa collection, il décrit le style, les mélanges... En général, on trace juste des plans. Il arrive aussi qu'on reproduise une partie grandeur nature, quand on touche à des univers particuliers.» Etienne Russo recourt aussi aux maquettes, aux simulations numériques...Car la grande spécificité de ce «métier-sans-nom», c'est la flexibilité dont il faut faire preuve. Les créateurs ont non seulement leur manière de communiquer les émotions qu'ils veulent véhiculer au travers de leurs défilés, mais aussi des univers propres. Il faut savoir capter et transposer leur imaginaire sans le trahir, respecter les codes de la maison tout en y apportant une touche personnelle. «Chez Chanel, par exemple, on travaille main dans la main avec le décorateur maison, explique Etienne Russo. Martin Margiela, lui, est entouré par une équipe qui le représente bien, avec laquelle on communique beaucoup. D'autres encore vont nous laisser tout diriger du début à la fin. Je suis un peu caméléon, je m'adapte.» Mais, que ce soit comme producteur exécutif ou comme concepteur de projet, le metteur en rêves ne laisse rien au hasard, des lumières à la bande-son, en passant par la température de la salle. «Nous n'avons que douze minutes pour communiquer le message d'une collection au public, ponctue-t-il. C'est un moment intense et éphémère, dont il faut garder un maximum de souvenirs. Ce qu'il y a de magique et qui m'émeut à chaque fois, c'est la transformation d'un même lieu en quelque chose de très spécifique.»

Les Beaux-Arts, à Paris, ont ainsi accueilli quatre des derniers défilés scénographiés par Etienne Russo. Quatre créateurs, quatre messages à faire passer, et, chaque fois, la magie a opéré. Entre l'ambiance rétro chic d'Hermès, l'atmosphère survoltée de Lanvin, la poésie des fleurs de Dries Van Noten ou le mystère de Margiela, chaque univers est unique.

Rendre un lieu unique et directement identifiable au créateur qui y défile, c'est d'autant plus important que le métier a changé. Le calendrier des défilés est désormais si serré qu'on ne peut plus se permettre de faire bouger les gens dans tout Paris, comme Etienne Russo a pu le faire dans les années 1990. Il n'hésitait pas, alors, à investir les sites industriels de banlieue, les trottoirs de Barbès ou les grottes des Buttes-Chaumont. Le scénographe reconnaît qu'il faut aujourd'hui tenir compte d'une moins grande disponibilité dans les lieux. Une contrainte supplémentaire. Mais les défis ne font pas peur à Etienne Russo. Au contraire: «Le stress, la réactivité et l'inventivité sont mes moteurs. Le jour où ça ne m'excitera plus, je ferai autre chose», expose l'intéressé, qui s'avoue incapable de s'impliquer sans passion. Pour l'instant, on est loin d'un changement de carrière: à chaque événement, le maître se dit «amoureux du créateur avec lequel [il] travaille». «Quand j'organise le défilé Chanel, je vis une histoire d'amour avec Chanel. Quand on met en place celui de Dries, c'est avec Dries. Et c'est la même chose avec Alber Elbaz pour Lanvin. J'ai cette faculté de "switcher" de l'un à l'autre tout en m'investissant corps et âme dans une collection.» Vivre plusieurs passions amoureuses en même temps, cela s'apparente à de la polygamie. Mais, quand c'est fait avec tant d'élégance et de poésie, on ne peut pas tout à fait condamner. Seulement se laisser séduire par la magie de l'instant.


MAKING OF A MAJOR EVENT !