mardi 31 mars 2009

EXPO : ALEXANDER CALDER ! LES ANNEES PARISIENNES, 1926 - 1933 !


Artiste transatlantique, Alexander Calder (1898-1976) est bien connu en France grâce à ses grands mobiles qui dressent leurs antennes colorées dans nos villes et nos parcs.

Le but de l'exposition, consacrée aux premières années de création de Calder à Paris (1926-1933), est d'explorer les sources de cet « art d'ingénieur », notamment à l'origine de son premier chef-d'oeuvre, le Cirque. Grâce aux nombreuses pièces exposées, mises en mouvement à l'aide de films, de documents d'archives, les visiteurs d'aujourd'hui pourront retrouver la magie des créations animées de l'artiste et la truculence de ses portraits au fil de fer, inspirés par des vedettes et artistes de l'époque. L'exposition met aussi en valeur l'autre temps fort de la création de Calder qui, en 1930, après une visite à l'atelier de Mondrian, bascule définitivement vers l'abstraction.


18 MARS 2009 - 20 JUILLET 2009

Centre Pompidou
Galerie 2 et Galerie du Musée
Place Georges Pompidou
75004 Paris
Tél. : 01 44 78 12 33
Metro Rambuteau (l.11)


lundi 30 mars 2009

EXPO : OUR BODY / A CORPS OUVERT ! (EN FACE DE L'AGENCE!)


OUR BODY / À CORPS OUVERT est une exposition fascinante, à la fois artistique et éducative, qui présente de véritables corps et organes humains. Destinée à tous, cette exposition va littéralement «sous la peau», et révèle les mystères de l’anatomie de l’homme. Plutôt que d’utiliser des modèles anatomiques, OUR BODY / À CORPS OUVERT présente de véritables corps humains pour permettre au public le plus large de voir ce qu’en principe seuls les médecins et les anatomistes sont capables d’étudier : c’est l’expérience de toute une vie. Le but d’OUR BODY / À CORPS OUVERT est que les visiteurs partent avec une meilleure connaissance de l’anatomie, des fonctions du corps, et une meilleure appréciation de leur santé. Les corps et les organes présentés dans OUR BODY / À CORPS OUVERT sont conservés selon un procédé connu sous le nom d’imprégnation polymérique. C’est un procédé de conservation assez récent où les fluides corporels sont remplacés par des polymères afin de créer un spécimen anatomique solide et durable, presque éternel. L’imprégnation polymérique a permis le développement d’expositions anatomiques à but éducatif. Elles ont fait le tour du monde (Etats-Unis, Australie, Japon, Angleterre, Belgique, Hollande, Allemagne, Espagne, Portugal) et ont été vues par plus de 30 millions de visiteurs à ce jour. L’exposition OUR BODY / À CORPS OUVERT est présentée pour la première fois à Paris dans un nouvel espace culturel de 1200 mètres carrés, en plein coeur de Paris. Cet espace occupe le rez-de-chaussée d’un immeuble construit en 1924 par l’architecte Jean de Saint-Maurice pour les Messageries maritimes. C’est un immeuble classé et remarquable qui s’inscrit dans les séquences historiques des Grands Boulevards parisiens. Idéalement placé, à 100 mètres de l'église de la Madeleine et à 100 mètres de l’Olympia. L’exposition est divisée en six espaces mettant en relief les différents systèmes organiques qui régissent notre corps : • le système musculo-squelettique • le système nerveux • le système uro-génital • le système respiratoire • le système digestif • le système cardio-vasculaire


Espace 12 Madeleine
12, boulevard de la Madeleine
75009 Paris
Métro Madeleine - Parking Madeleine

EXPOSITION T.A.G AU GRAND PALAIS DU 27 MARS 26 AVRIL !


Dans les années 80 à N.Y, le TAG était considéré comme un art provoquant le scandale ou les moqueries. Selon Olivier Kaeppelin ( Délégué aux arts plastiques ), le TAG est l’un de ceux qui fait vivre “la forme” dans les endroits singulier de la ville. A l’heure actuelle, la culture urbaine prend de plus en plus d’ampleur dans le secteur artistique. On parle de redéfinition de l’art dans l’espace public (relation entre l’art et l’urbanité ), de la danse classique qui compose des spectacles avec la danse urbaine, de la publicité tv avec l’utilisation du tag pour signer le nouveau parfum “Elle Shocking” d’une célèbre marque au trois lettres, ou encore avec la littérature urbaine et le dernier livre de Guillaume Secalati “Scratch”, dont la sortie est prévu le 1er avril 2009 aux éditions Sarbacane.
De nos jours le graffiti fleurit dans les galeries d’art contemporaines, et maintenant c’est à la galerie sud du Grand Palais à Paris que le graffiti fait une escale remarquée ! Guidé par le son du graffiti d’une bombe aérosol, chacun se sent confronter à un dialogue visuelle. La collection Gallizia nous montre bien le passage de cet art dit “sauvage” dans la fin des années 90 à une véritable performance artistique.
Une grande première pour le 1er étage de la galerie sud du Grand Palais, où 300 œuvres de grands artistes graffeurs expriment leur “amour” pour le graffiti dans une surface de 700m².
L'amour, plus qu’un symbole dans cette exposition, c’est le fil conducteur de celui-ci. En effet, tous les artistes graffeurs ont effectués une œuvre selon le même principe de triple unité. 3 M qui donnent une homogénéité à l’exposition :
- Même format (60×80).
- Même thème (sujet libre sur l’amour)
- Même lieu ouvert : l’atelier d’Alain-Dominique Gallizia* à Boulogne Billancourt dans les Hauts de seine.


Exposition TAG du 27 mars au 26 avril 2009 à la Galerie sud du Grand Palais à Paris.

Tarif : 5 euros

Tarif réduit : 3 euros (étudiants et sans emploi )

Gratuit pour les moins de 12 ans.

plus d’informations sur http://www.tagaugrandpalais.com


EXPO BLING BLING : DAVID LACHAPELLE!


Kitsch, cru, parfois trash, toujours haut en couleur... L'univers peuplé de stars du photographe américain David LaChapelle est immédiatement reconnaissable à ses mises en scène sophistiquées et travaillées, où la réalité heurte le rêve de plein fouet. Jusqu'au 31 mai, l'artiste investit les murs de La Monnaie de Paris, qui lui consacre une exposition, la plus complète jamais réalisée en France : 200 oeuvres qui témoignent de l'acuité de son regard sur la société. Essentiellement connu du grand public pour ses photos de mode et de stars du show-biz, le photographe a ici confié des oeuvres récentes qui n'avaient pas encore été exposées. Le public pourra ainsi découvrir la série "Deluge", inspirée à David LaChapelle par les fresques de Michel-Ange à la chapelle Sixtine et qui dénonce la société de consommation. "C'est une oeuvre fondamentale dans la carrière de David LaChapelle", souligne Gianni Mercurio, commissaire de l'exposition. Il a réussi à introduire dans la photographie "le grand émoi de la fresque". Dans l'ensemble de son oeuvre, David LaChapelle "nous a habitués à faire des incursions dans l'histoire de l'art et on peut reconnaître dans ses photos des citations évidentes", outre Michel-Ange, de peintres comme Jérôme Bosch, Magritte, Max Ernst, explique le commissaire. Parmi les dernières oeuvres du photographe figurent des "tableaux" en 3D, à la manière des livres pour enfants dont le décor se déploie en relief lorsqu'on les ouvre. Des voitures fracassées composent "The crash" (l'accident), un autre "tableau" illustre la "décadence" de la société de consommation en mêlant gros gâteaux crémeux, cochons dorés en train de forniquer, une Vierge à l'enfant, un crâne en diamants... Tellement "bling-bling" !

MONNAIE DE PARIS
11, QUAI CONTI
75006 PARIS