vendredi 29 janvier 2010
lundi 11 janvier 2010
NOUVEAU CALENDRIER CAMPARI : OLGA KURYLENKO !
Le calendrier Campari 2010 est une histoire. Milan est le fond commun des photos prises par Simone Nervi. Dans chaque photographie, la femme Campari interprétée par la séduisante Olga Kurylenko est réinventée avec une passion renouvelée et, bien sûr, un apéritif Campari. En feuilletant le calendrier, on assiste à la transformation d’Olga, et de la ville, avec pour seule constante la passion des 12 femmes Campari qu’elle interprète.
Nous sommes dans le tramway historique 609. Olga est au centre de l’action. Nous la suivons. Milan se dévoile progressivement devant nous, partageant avec Campari le cadre de chaque photo. Campari et Milan sont animés par le regard d’Olga Kurylenko. À l’image de la femme Campari, Milan se montre et se cache, fait un clin d’œil et disparaît, nous défiant de la suivre. «Le choix d’Olga s’est imposé naturellement: c’est une actrice internationale, dotée de beaucoup de charme, de grâce, d’élégance et de sensualité, qui incarne parfaitement l’esprit de la marque Campari», déclare Bob Kunze-Concewitz, directeur général du Groupe Campari.
«Ce fut une expérience vraiment unique. J’ai été tout à la fois ravie et intriguée par la proposition de Campari: jouer le rôle de la femme Campari et interpréter l’essence du rouge passion. Pour moi, le rouge passion, c’est un mode de vie plein de vitalité et de confiance, une façon de ressentir et d’exprimer les émotions. J’ai une grande passion pour la vie et le travail que je fais, j’aime être constamment active, d’où cette affinité avec Campari, comme moi, dynamique, passionné et cosmopolite», déclare Olga Kurylenko.
vendredi 8 janvier 2010
BALENCIAGA SPRING 2010 CAMPAIGN : ISELIN STEIRO AND MIRTE MAAS !
EXPO : LES VOYAGES EXTRAORDINAIRES D'YVES SAINT LAURENT !
En 40 ans de création, Yves Saint Laurent a révolutionné la garde-robe de la femme en empruntant au vestiaire masculin le smoking, le tailleur pantalon et la saharienne pour en vêtir les femmes. Ainsi Saint Laurent fit passer les attributs du pouvoir d’un sexe à l’autre.
S’inspirant de la rue (collection scandale 1971), de ses voyages imaginaires (Russie, Chine, Inde, Espagne, Japon, Afrique et Maroc) et de son dialogue avec l’Art (Mondrian, Picasso, Matisse, Van Gogh…), Yves Saint Laurent n’a cessé « de faire de la mode une fête ».
Petit Palais, Musée des Beaux Arts de la ville de Paris
Du 11 mars 2010 au 29 août 2010